Bonjour, j'ai lu que Jacques Brunius et Denise Bellon visiterent le Palais Idéal en 1929, non pas en 1947. Je n'ai trouvé nulle part cette date. Comment ça c'est possible? Merci beaucoup. Au revoir
08/04/2013
Huile sur toile, début 1914, Paris.
Signé en bas à droite, à l'huile noire : « G. de Chirico/1914 » [MoMA, 2018]
En 1933, André Breton cède cette toile à Roland Penrose, qui la cède à Julien Levy. Le 3 décembre 1935, James Thrall Soby achète le tableau par l'intermédiaire de la galerie Pierre Matisse. [site André Breton 2019, La Beaumelle, 1991, MoMA 2018]
Albert C. Barnes, Paul Guillaume, Chirico, Paris, 1926, p.8.
André Breton, Le Surréalisme et la Peinture, Paris, 1928, rep. p. ??
Paolo Baldacci (trad. de l'italien par Susan Wise), DeChirico : the metaphysical period 1888-1919, Boston, Bulfinch Press / Giorgio De Chirico 1888-1919, La Métaphysique, Paris Flammarion, 1997, cat. 50, p. 218.
Date de création | 1914 |
Langues | français |
Notes | 6' 1 1/4" x 55" (185.5 x 139.7 cm) - Huile sur toile |
Provenance | Collection Paul Éluard (via galerie Paul Guillaume, 1926) ; collection André Breton (via Galerie surréaliste, 1928). |
Lieu d'origine | |
Musée | |
Dimensions | 185,50 x 139,70 cm |
Crédit | © 2019 Artists Rights Society (ARS), New York / SIAE, Rome |
Mots-clés | peinture |
Catégories | Tableaux |
Expositions | Chirico , Œuvres anciennes de Georges de Chirico , Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 , Giorgio de Chirico , Works of Art: Given or Promised , Surrealist Illusion from the Museum Collection , The James Shrall Soby Bequest , Giorgio de Chirico |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600101000375 |
Auteur André BretonPersonnes citées Charles Baudelaire, Giorgio De Chirico, Sigmund Freud, Marcel Duchamp, Max Ernst, Pablo Picasso
Manuscrit inachevé qui, d'après Breton, daterait de 1936 ou 1937.
Resté inachevé et publié pour la première fois dans les Inédits II du deuxième volume de la Pléiade, ce texte sur « La peinture animée » daterait de 1936 ou 1937, d'après Breton, les éditeurs de la Pléiade penchant davantage pour la première date. L'idée centrale d'un travail sur le temps introduit à une conception nouvelle de la peinture surréaliste, appelée à créer de l'inconnu dans le choc d'une « contraction de la durée ». [site Atelier André Breton, 2005]
Manuscrit, circa 1936-1937.
1 feuille in-4° manuscrite recto-verso à l'encre verte, indications de l'auteur au crayon, en fin de texte.
Ce texte a été écrit pour l'exposition d'Alfred Barr en 1936-1937, ainsi que le montre Dawn Ades dans son article paru en 2019 dans Endless Enigma.
« [...] une nouvelle perspective [...] se superpose à la perspective spatiale et en constitue l'équivalent dans la durée. » [site André Breton, 2024, merci à Dawn Ades]
André Breton (Édition de Marguerite Bonnet avec la collaboration de Philippe Bernier, Étienne-Alain Hubert et José Pierre), « La Peinture animée », Inédits II, Œuvres complètes, tome II, Bibliothèque de la Pléiade, Paris, Gallimard, 1992, p. 1253-1259, notes p. 1825-1826.
Dawn Ades, « Surrealism and Fantastic Art », in Dawn Ades, Olivier Berggruen, J. Patrice Marandel, Nicholas Hall, Endless Enigma: Eight Centuries of Fantastic Art, New York, David Zwirner Books, 2019, p. 11.
Date de création | 1936 ou 1937 |
Notes bibliographiques | 1 feuillet in-4° - Ms - encre verte et crayon noir sur papier jaune |
Langues | français |
Dimensions | 27,00 cm |
Nombre de pages | 2 p. |
Référence | 453000 |
Catégories | Manuscrits d'André Breton |
Série | [Manuscrits d'AB] Manuscrits divers |
Exposition | Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100396710 |
Cadavre exquis réalisé en 1933 par André Breton et d'autres artistes en collaboration.
Non signé. Non daté.
Dessin composite réalisé au crayon de couleur sur papier noir. [MoMA, Site André Breton 2019]
Date de création | [circa 1933] |
Notes | Crayons de couleur sur papier noir. 9 1/2 x 12 1/2" (24.1 x 31.7 cm) |
Musée | |
Dimensions | 24,10 x 31,70 cm |
Mots-clés | arts graphiques, Cadavre exquis, jeu surréaliste |
Catégories | Œuvres graphiques, Œuvres plastiques d'André Breton |
Série | [Jeux surréalistes] Cadavres exquis |
Exposition | Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600101000387 |
Personne citée Joseph-Ferdinand ChevalPhotographe Denise Bellon, Jacques Brunius
Photographies du Palais idéal du facteur Ferdinand Cheval effectuées par Denise Bellon et Jacques-Bernard Brunius en 1936.
Quatorze tirages phototypes.
Sept photographies prises par Denise Bellon et sept par Jacques-Bernard Brunius du Palais idéal du facteur Ferdinand Cheval.
Annotations manuscrites de Jacques Brunius sur toutes.
Les sept tirages de Denise Bellon portent le tampon du photographe au dos.
Les photographies sont conservées dans l'enveloppe originale adressée à : M. Jacques Brunius, 9A observatory Gardens, W.8., qui porte au verso le détail du contenu de la main de Jacques Brunius. [catalogue de la vent, 2003]
1 à 13 / photos par Jacques-Bernard Brunius
15 à 27/ photos par Denise Bellon
Brunius (né Jacques Henri Cottance 1906-1967) qui passait ses vacances à Charmes-sur-l’herbasse, lieu de naissance du Facteur Cheval en 1836, à une quinzaine de kilomètres de Hauterives (où le palais idéal a été érigé de 1879 à 1912), et qu’il a découvert en 1923, a fait connaitre le palais à ses amis surréalistes. Deux cartes postales anciennes avec le facteur Cheval sont reproduites dans la revue Variétés en 1929. André Breton, Valentine Hugo et Georges Sadoul le visitent en 1931. Brunius fera paraître un article et des photos dans Cahiers d’art, n° 1 et 2 en 1936 et dans d’autres revues.
En 1936, Brunius et sa belle-sœur, Denise Bellon (la sœur de son épouse d’alors, Colette Hulmann) retournent à Hauterives avec André Delons (le cousin de Jacqueline Lamba-Breton) pour refaire des clichés en vue du documentaire Violon d’Ingres – consacré au facteur Cheval et au douanier Rousseau, entre autres, et qui sera projeté à New York en 1939 pendant l’Exposition universelle.
Brunius a épousé Colette Hulmann (de 1932 à 1948), la sœur de Denise Bellon. [Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]
- Cahiers d’art, n° 1 et 2 en 1936
Date de création | 1936 |
Notes bibliographiques | Tirages argentique sur papier |
Langues | français |
Crédit | © Denise Bellon, DR. |
Référence | 4231000 |
Vente Breton 2003 | Lot 5205 |
Mots-clés | art brut ou naïf, assemblage ou collage, photographie |
Catégories | Photographies, [Photos] 1931-1939 |
Exposition | Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100018190 |
Bonjour, j'ai lu que Jacques Brunius et Denise Bellon visiterent le Palais Idéal en 1929, non pas en 1947. Je n'ai trouvé nulle part cette date. Comment ça c'est possible? Merci beaucoup. Au revoir
08/04/2013
Les visites au Palais idéal du facteur Cheval par Breton et les surréalistes sont nombreuses. Fin septembre 1931, Breton regagnant Paris, après un séjour à Castellane où il commence Les Vases communicants, fait un détour par Hauterives. (voir photo de Breton au Palais idéal en 1931 dans Les Vases communicants et note n°1 p. 1416, dans la Pléiade II des œuvres complètes de Breton, 1992).
Dans Poésie et autre d'André Breton au Club du meilleur livre, 1960, on trouve p. 114 la reproduction de la photo de 1931 de Breton au Palais idéal et une autre photo, de 1949, de Breton et Elisa dans le même lieu en 1949.
Quant à Denise Bellon, elle s'était installée en 1946 à Montpellier et a réalisé de nombreux reportages dans la Drôme. En 1947, elle a photographié l'exposition "le Surréalisme en 1947". La date de 1947 figure d'ailleurs au dos d'une photo. JMG._
09/04/2013
Pardonnez-moi, mais ce que vous dites à propos de la date "1947" sur le dos d'un cliché n'est pas exact... parce-qu'il ne s'agit pas d'une date mais de quelque classification. On peut lire aussi "CH 1349", "CH 1343", "CH 1934".... et "CH 1947". Voiez bien qu'il ne s'agit pas de dates. En outre, j'ai raison de croire que les principales visites du couple (artistique) Brunius-Bellon à Hauterives remontent à 1929 e 1936, "lorsque la photographe réalise un reportage d'une centaine de clichés appelés à etre largemente exposés et publiés" (Avec le Facteur Cheval, Museé de la Poste, 2007, page 29). D'autres textes aussi que j'ai consultés ne citent aucun reportage successif de Denise Bellon à Hauterives. Je vous remercie pour l'attention. A.T.
09/04/2013
Je confirme les visites de Breton au Palais idéal du facteur Cheval en 1931 et en 1949 avec Elisa. Pour 1947, je cite cette date surtout pour signaler que Denise Bellon fréquentait les surréalistes à cette époque et qu'elle avait notamment photographié l'exposition "Le Surréalisme en 1947". Mais vous avez raison quand vous dites que 1947 n'est pas une date mais un numéro de classement CH... Mea culpa. JMG_
10/04/2013
Cher Alessandro Trasciatti,
grâce à vos commentaires, et aux réponses de Jean-Michel Goutier, je peux corriger la date. De 1947, nous allons donc basculer en 1929 - en ligne, le voyage dans le temps fonctionne.
Grand merci, ck_
10/04/2013
Merci bien pour avoir accueilli ma suggestion. Il me semble important que vous avez corrigé ce 1947. C'est peut-etre une question qui n'interesse personne. Mais je suis en train de faire des recherches sur Facteur Cheval e donc je suis interessé à bien comprendre tout ce qui l'a concerné. Il reste à voir si ces clichés remontent vraiment à 1929 ou bien à 1936 (epoque de l'autre visite Brunius-Bellon). Je vais chercher de le comprendre. Très cordialement, AT.
10/04/2013
Je suis prête à faire basculer les photos en 1936 dès que vous me le dites. Avec mes remerciements, ck_
10/04/2013
« Le problème de la datation des photos du Palais idéal est récurrent. En tout cas, 1947, sûrement pas. Cette date correspond au renvoi des photos à son adresse londonienne d'alors, après l'exposition surréaliste de 1947 chez Maeght - elles n'avaient pas été utilisées, en tout cas le catalogue n'en faisait pas mention. La date de publication n'est pas non plus janvier 1929.
» Les premières photos publiées l'ont été dans Variétés, en juin 1929, dans le n° spécial surréaliste, ainsi que dans le n° 2, IIe année, 15 juin 1929 (paru exactement à la même date). Je pense qu'elles avaient été prises l'année précédente, durant l'été que Brunius passait régulièrement, depuis le début des années 20, dans la maison familiale de Charmes-sur-l'Herbasse, à quelques kilomètres d'Hauterives. Si je me souviens bien (je n'ai pas le numéro sous la main), les deux photos du n° spécial (une du Palais, une du tombeau du facteur) et les quatre du n° 2 (toutes du Palais) étaient signées Bernard Brunius.
» Les photos prises par Denise Bellon n'ont pas pu être prises avant le mariage de Brunius avec sa sœur Colette, en 1932. Toutes les photos publiées avec les articles écrits par Brunius en 1936 (Revue Matford, Architectural Review, Vu, Match, etc.) l'ont été par Denise, et signées, me semble-t-il. L'une d'entre elles figure sur le DVD des films de Brunius édité l'an dernier par Doriane Films (avec André Delons). »_LL, transmis par Anne Egger.
05/05/2013
Merci bien! Ces précisions sont très interessantes. Entre autres choses, vous mentionnez le magazine "Match". J'ai le numero sous la main, 29 septembre 1938 (non pas 1936), et je me demande pourquoi on attribue généralement cet article à Brunius, parce q'il n'est pas signé et on ne fait pas le nom de Denise Bellon pour les photos... Pouvez-vous me donner quelque eclaircissement? Merci
11/05/2013
Personne citée Francis PicabiaRéalisation ou Mise en scène Rémy Ricordeau
Ce coffret contient le film de Rémy Ricordeau Prenez garde à la peinture... Et à Francis Picabia ! ainsi qu'un livret de 88 pages en français et en anglais.
Après avoir, avec son ami Marcel Duchamp, décrété la mort de l'art, Francis Picabia est devenu une référence incontournable aux yeux de ceux qui s'intéressent à l'histoire de l'art moderne et son rapport à la liberté.
« Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de changer de direction » affirmait-il. Il convient de prendre son humour au sérieux : la cohérence de sa démarche réside en effet dans son insatiable curiosité et son goût immodéré de la vitesse et du jeu, cette soif de vivre désespérée qui ne s'est accommodée d'aucun conformisme ni d'aucune autre règle que celle du désir de tout expérimenter.
S'il a par ailleurs été écrivain, poète et amateur d'automobiles, la vie dans tous ses excès était à ses yeux préférable à son œuvre ; et le jeu des passions à la morbidité des dogmatismes. Ce film se propose ainsi de retracer la vie de Francis Picabia en soulignant l'importance de sa singularité dans l'histoire intellectuelle et artistique du 20e siècle.
Date d'édition | 2018 |
Édition | édition originale |
Durée | 100 mn |
Dimensions | 13,00 x 18,80 cm |
Nombre de pages | 88 |
Crédit | © SevenDoc 2018 |
Référence | SD71801 |
Mots-clés | peinture |
Série | Collection Phares |
Exposition | Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600101000179 |
Sculpture peinte de Jean Arp non datée.
Non datée, non signée. [MoMA, site André Breton, 2019]
André Breton dira, à propos de cette sculpture, dans son livre Le surréalisme et la peinture : « Quelle différences y a-t-il foncièrement entre un couple de danseurs et le couvercle d'une ruche ? Les oiseaux n'ont jamais mieux chanté que dans cet aquarium. » [site André Breton 2019]
- André Breton, Le surréalisme et la peinture, Paris, Gallimard, 1965.
- Bernd Rau, Jean Arp: the reliefs : catalogue of complete works, New York, Rizzoli, [circa 1981], rep. p. 21.
Date de création | 1924-1925 |
Notes | Bois peint - 9 7/8 x 8 x 4 1/2" (25.1 x 20.3 x 11.4 cm) |
Provenance | Acquis de l'artiste, sd. Vendu au MoMA en 1937 |
Musée | |
Dimensions | 25,10 x 20,30 x 11,40 cm |
Crédit | © 2019 ADAGP |
Mots-clés | peinture, sculpture |
Catégories | Sculptures et Boîtes |
Expositions | La peinture surréaliste, 1925 , Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 , Paul Klee et les surréalistes |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600101000379 |
Sculpture en bois et en métal de Joan Miró réalisée à Montroig entre août et novembre 1930.
Inscrit au dos : « Joan Miró/1930 »
[MoMA, site André Breton 2019]
Pilar Ortega Chapel, Miró : Catalogue raisonné Sculptures 1928-1982, Paris, Daniel Lelong, 2006, p.251.
Date de création | août-novembre 1930 |
Notes | Huile sur bois, agrafes et métal - 35 7/8 x 27 5/8 x 6 3/8" (91.1 x 70.2 x 16.2 cm) |
Provenance | Acquise par André Breton à Paris entre 1936-1937. Cédée à Paul Éluard en 1937. |
Lieu d'origine | |
Musée | |
Dimensions | 16,20 x 91,10 x 70,20 cm |
Crédit | © 2019 Successió Miró / Artists Rights Society (ARS), New York / |
Mots-clés | sculpture |
Catégories | Sculptures et Boîtes |
Expositions | Cubism and Abstract Art , Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600101000391 |
Gouache de Max Ernst peinte en 1920.
Signée et datée en bas à droite. [MoMA, site André Breton 2019]
André Breton, Le surréalisme et la peinture, Paris, Gallimard, 1965, rep. p.24.
K. G. Pontus Hultén, The machine, as seen at the end of the mechanical age, New York, The Museum of Modern Art, 1968, rep.p.125.
Date de création | 1920 |
Langues | français |
Notes | Gouache, stylo et encre, papier peint imprimé sur du carton - 17 1/2 x 13" (44.5 x 33 cm) |
Provenance | Don de l'artiste, sd. Vendu au MoMA en 1935 |
Musée | |
Dimensions | 44,50 x 33,00 cm |
Crédit | © 2019 Artists Rights Society (ARS), New York / ADAGP, Paris |
Mots-clés | arts graphiques, peinture |
Catégories | Tableaux |
Expositions | Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 , The Machine as Seen at the End of the Mechanical Age , Max Ernst: Beyond Painting |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600101000378 |
Artiste Max Morise, Pierre Naville, Jacques Prévert, André Breton, Benjamin Péret, Yves Tanguy, Jeannette Tanguy
Cadavre exquis réalisé par André Breton et d'autres artistes en collaboration en 1928.
Collage et photomontage avec crayon sur papier. [MoMA, site André Breton 2019]
Date de création | 1928 |
Notes | Crayon - 11 3/8 x 9" (28.9 x 22.9 cm) |
Musée | |
Dimensions | 28,90 x 22,90 cm |
Crédit | © 2019 Estate of Yves Tanguy / Artists Rights Society (ARS), New |
Mots-clés | assemblage ou collage, Cadavre exquis, jeu surréaliste |
Catégories | Œuvres graphiques, Œuvres plastiques d'André Breton |
Série | [Jeux surréalistes] Cadavres exquis |
Exposition | Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600101000392 |
Paysage de Joan Miró peint entre juillet 1923 et l'hiver 1924 à Mont-Roig del Camp.
Huile sur toile signée et datée en bas à gauche :
« Miro 1923-24. » [MoMA, site André Breton 2019]
Benjamin Péret, Exposition Joan Miró : catalogue, Paris, s.e, 1926, p. 4.
William Rubin, Miró in the collection of the Museum of Modern Art, New York, Museum of modern art, 1973. p. 23
Objet d'art brut acquis à Paris en 1929 lors d'une exposition d'art aliéné.
Panneau rectangulaire présentant sur quatre registres des boîtes vitrées contenant des éléments divers (partie de ciseau, morceau de miroir, crochet, plumes métalliques, poignées de meubles, épingles à cheveux, plumes, poignées d'outils, anneaux, roue de montre, ficelle et boutons...).
Objet réalisé par un aliéné et provenant d'une exposition de malades en 1929 (Alain Jouffroy, « La collection André Breton » in L'œil n° 10, octobre 1955, rep. p. 39). « Cet objet semble avoir eu une influence sur l'apparition des "poèmes-objets" d'André Breton. » José Pierre (avant-propos de Robert Lebel, L'Aventure surréaliste autour d'André Breton, Paris, Filipacchi, Artcurial, 1986, rep. p.34) [catalogue de la vente, 2003]
Art Brut
« Dans ce véritable manifeste de l'Art brut que constitue la notice datée d'octobre 1948, notre ami Jean Dubuffet insiste on ne peut plus justement sur l'intérêt et la spéciale sympathie que nous portons aux œuvres qui "ont pour auteurs des gens considérés comme malades mentaux et internés dans des établissements psychiatriques". Il va sans dire que je m'associe pleinement à ses déclarations : "Les raisons pour lesquelles un homme est réputé inapte à la vie sociale nous paraissent d'un ordre que nous n'avons pas à retenir." Je me déclare en non moins parfait accord avec Lo Duca, auteur d'un remarquable article intitulé L'Art et les Fous qu'on m'a communiqué sans malheureusement pouvoir m'en indiquer la référence et dont je me bornerai à citer ces fragments : "Dans un monde écrasé par la mégalomanie et l'orgueil, par la mythomanie et la mauvaise foi, la notion de folie est bien imprécise." On a d'ailleurs remarqué qu'un nombre excessivement restreint de mégalomanes est soigné par les psychiatres. En effet, dès que la folie devient collective - ou se manifeste par le truchement de la collectivité - elle devient taboue... A nos yeux, le fou authentique se manifeste par des expressions admirables où jamais il n'est contraint, ou étouffé, par le but raisonnable. Cette liberté absolue confère à l'art de ces malades une grandeur que nous ne retrouvons avec certitude que chez les Primitifs...
» Il est à observer qu'une gêne croissante, dès qu'il s'agit de la place à faire à de telles œuvres, n'a cessé depuis un demi-siècle de s'exprimer dans les milieux psychiatriques - soit dans un cercle où pourtant ces œuvres étaient essentiellement considérées en fonction de leur valeur clinique. Déjà dans son ouvrage L'Art chez les fous, publié en 1905, Marcel Réja s'oppose à ce que leur qualité maladive les fasse tenir pour "des choses hors cadre, sans rapport avec la norme" et se montre sensible à la beauté de certaines d'entre elles. Hans Prinzhorn (Bildnerei des Geistenkranken, 1922) en révélant celles qui lui paraissent les plus remarquables - notamment d'August Neter, de Hermann Beil, de Joseph Sell et de Wölfli - et en leur assurant une présentation pour la première fois digne d'elles, appelle leur confrontation avec les autres œuvres contemporaines, confrontation qui, sous bien des rapports, tourne au désavantage de celles-ci...
» Je ne craindrai pas d'avancer l'idée, paradoxale seulement à première vue, que l'art de ceux qu'on range dans la catégorie des malades mentaux constitue un réservoir de santé morale. Il échappe en effet à tout ce qui tend à fausser le témoignage qui nous occupe et qui est de l'ordre des influences extérieures, des calculs, du succès ou des déceptions rencontrées sur le plan social, etc. Les mécanismes de la création artistique sont ici libérés de toute entrave. Par un bouleversant effet dialectique, la claustration, le renoncement à tous profits comme à toutes vanités, en dépit de ce qu'ils présentent individuellement de pathétique, sont ici les garants de l'authenticité totale qui fait défaut partout ailleurs et dont nous sommes de jour en jour plus altérés. » André Breton (Le Surréalisme et la peinture, Nouvelle édition revue et corrigée, 1928-1965, Paris, Gallimard, 1965, pp.313-316) [catalogue de la vente, 2003]
- Fantastic Art, Dada, Surrealism : New York, The Museum of Modern Art, décembre 1936-janvier 1937
- Paris, Galerie de l'Œil, L'écart absolu, La XIe Exposition internationale du Surréalisme (générique d'André Breton), 1965, rep. s.p., n° 7
- Paris, Musée national d'art moderne/Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991
- Valencia, IVAM Centre Julio Gonzalez, El objeto surealista, 1997-1998, p. 34
- Paris, Musée national d'art moderne/Centre Georges Pompidou, La Révolution surréaliste, 2002, p. 440
- Düsseldorf, K20 Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, Surrealismus 1919-1944, 2002, p. 462
- Les Chemins de l'art brut (2) : Villeneuve-d'Ascq (France), Musée d'art moderne de Lille Métropole, 11 septembre 2003-17 novembre 2003
- Surrealismus aund Wahnsinn : Heidelberg (Allemagne), Sammlung Prinzhorn, 26 novembre 2009-22 février 2010
- L'autre de l'art : Villeneuve-d'Ascq (France), LaM. Lille métropole musée d'art moderne d'art contemporain et d'art brut, 02 octobre 2013-14 janvier 2015
- La Révolution surréaliste, cinquième année, n° 12, 15 décembre 1929, rep. p. 43
- « L'objet », Cahiers d'art, 11e année, n° 1-2, 1936, rep. p. 50
- Alfred H. Barr Jr, Fantastic Art, Dada, Surrealism, New York, Museum of Modern Art, 1936, rep n° 608
- Alain Jouffroy, « La collection André Breton », L'Œil n° 10, octobre 1955, rep. p. 39
- Londres, Art Council of Great Britain, Dada and surrealism reviewed, 1978, n° 9, p.123, p. 227 (étiquette au dos)
- José Pierre, Robert Lebel (avant-propos de), L'aventure surréaliste autour d'André Breton, Paris, Filipacchi, Artcurial, 1986, ISBN 2-85018-458-6, rep. p. 34
- Paris, Musée national d'art moderne/Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep.p.305
- Los Angeles County Museum, Parallel Vision, Los Angeles, 1992, rep. p.100, rep. n°66
- Les Chemins de l'art brut (2) : Aloïse Corbaz, A.C.M., Theo, André Breton et l'art brut, les naïfs, primitifs du XXe ?, Villeneuve d'Ascq, Musée d'art moderne Lille Métropole, 11 septembre-17 novembre 2003, Villeneuve d'Ascq, Musée d'art moderne Lille Métropole, 2003, n° isbn 2-86961-066-1, Cit. p. 12, repr. p. 13
- Durozoi, Gérard, Dada et les arts rebelles, Editions Hazan, Paris, 2005, n° isbn 2 7541 0044 X, repr. et commenté p.65
- L'Aracine et l'art brut : Les chemins de l'art brut 8, [exposition,], Paris, Institut national d'histoire de l'art, du 24 septembre au 15 décembre 2009, Villeneuve d'Ascq, Galerie les 3 lacs, Université Charles-de-Gaulle Lille 3, du 19 janvier au 26 février 2010, Villeneuve-d'Ascq, LaM, 2009, 183 p. ; 26 cm, ISBN 9782869610815, repr. p. 168
- Hypnos, Images et inconscients en Europe (1900-1949), présentée au Musée de l'Hospice Comtesse à Lille du 14 mars au 12 juillet 2009, Musée d'Art Moderne Lille Métropole, 2009/03/17, ISBN 9782869610804, repr. p. 253 (ill. 217)
- Collections, Paris, Hazan, 2010 ; Villeneuve-d'Ascq : LaM, 2010, 254 p. ; 22 cm, ISBN 978-2-86-96-1082-8, repr. p. 183
Date de création | 1929 |
Notes | 42,5 x 15,5 cm (16 3/4 x 6 1/8 in.), sd |
Provenance | Acquis à Paris, en 1929, lors d'une exposition d'art aliéné |
Musée | Musée Lam de Lille Métropole, Villeneuve d'Ascq : Inv: 2003.7.3 |
Dimensions | 42,50 x 15,50 cm |
Référence | 5475000 |
Vente Breton 2003 | Lot 4027 |
Mots-clés | art brut ou naïf, assemblage ou collage |
Catégories | Beaux-Arts, Sculptures et Boîtes |
Série | 1965-1966, L'écart absolu |
Expositions | Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 , L'Écart absolu, 1965 |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100499480 |
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Objet d'art brut acquis à Paris en 1929 lors d'une exposition d'art aliéné.
Une image, une notice descriptive, une bibliographie, des expositions, un musée.
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Quatre portraits photographiques d'André Breton rue Fontaine réalisés par Lo Kay vers 1939.
Quatre images, une notice descriptive à compléter.
Sculpture placée sur le mur de l'atelier d'André Breton.
Cette roue ovale apparaît dans le film de Jacques Brunius, Violons d'Ingres, en 1939.
Le Poignard subtil a mis en ligne le résutlat de ses recherches à propos d'Alphonse Benquet et de sa roue ovale, qui semble davantage un travail de compagnon amusé qu'une sculpture à proprement parler. [site André Breton, 2012]
- Fantastic Art, Dada, Surrealism : New York, The Museum of Modern Art, décembre 1936-janvier 1937
- André Breton, La beauté convulsive : Paris Musée national d'art moderne, Centre Georges Pompidou, 25 avril -26 août 1991
- Big Bang [Présentation des collections permanentes] : Paris (France), Musée national d'art moderne, 02 mai 2005-28 février 2006
- Présentation des collections permanentes (collections modernes) : Paris (France), Musée national d'art moderne, 15 décembre 2006-15 décembre 2007
- Présentation des collections permanentes (collections modernes) : Paris (France), Musée national d'art moderne, 01 février 2010-01 février 2012
© DR centre Pompidou, Mnam
Alfred H. Barr Jr, Fantastic Art, Dada, Surrealism, New York, Museum of Modern Art, 1936, rep n° 624
Paris, Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep.p. 297
Date de création | 1878 |
Langues | français |
Notes | bois, métal |
Provenance | sl |
Lieu d'origine | |
Musée | Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-3(209) |
Modalité d'entrée dans les collections publiques | Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, dation André Breton, 2003 |
Référence | Dation_209 |
Mots-clés | art brut ou naïf, mur de l'atelier, sculpture |
Catégories | Beaux-Arts, Sculptures et Boîtes |
Expositions | 1936, Exposition surréaliste d’objets, galerie Charles Ratton , Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 , André Breton, La Beauté convulsive |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100230190 |
Imitation de ready made rectifié, une des rares interventions de Duchamp dans le domaine plastique.
Lithographie en couleur avec photographie originale de Marcel Duchamp par Man Ray, sur un support de carton, signée et justifiée en bas vers la gauche : Rrose Selavy MD, Épreuve n° 22 (sur 30)
« C'est au nombre de trente-cinq environ que Marcel Duchamp fixe ses interventions dans le domaine plastique, et encore y comprend-il une série de démarches plus ou moins spontanées qu'une critique insuffisamment avertie se refuserait à homologuer : je pense, par exemple, à l'acte de signer une grande toile décorative, quelconque, dans un restaurant et, d'une manière générale, à ce qui constitue le plus clair (qui pourrait bien être le plus le totalement étincelant) de son activité depuis vingt ans : les diverses spéculations auxquelles l'a entraîné la considération de ces ready made (objets manufacturés promus à la dignité d'objets d'art par le choix de l'artiste) à travers lesquels, de loin en loin, au mépris de tout autre secours, il s'est très orgueilleusement exprimé. Mais qui peut dire de quoi, pour ceux qui savent, se charge une signature dont il a été fait un usage manifeste si parcimonieux! Une lumière intense, fascinante, se répand grâce à elle, non plus sur l'objet étroit qu'en général elle situe, mais sur toute une opération de la vie mentale ...
« C'est, en effet, dès la fin de 1912 qu'il subit la grande crise intellectuelle qui l'amène à renoncer progressivement à cette forme d'expression (il s'agit de la forme d'expression picturale). Celle-ci lui apparaît viciée. L'exercice du dessin et de la peinture lui fait l'effet d'un jeu de dupes : il tend à la glorification stupide de la main et de rien autre. C'est la main la grande coupable, comment accepter d'être l'esclave de sa propre main ? Il est inadmissible que le dessin, la peinture en soient encore aujourd'hui où en était l'écriture avant Gutenberg. La délectation dans la couleur, à base de plaisir olfactif, est aussi misérable que la délectation dans le trait, à base de plaisir manuel. La seule issue, dans ces conditions, est de désapprendre à peindre, à dessiner. Duchamp ne s`en est, depuis lors, jamais dédit ... Pour Duchamp le recours à ces ready-made, à partir de 1914, tend en effet à supplanter tout autre mode d'expression. » André Breton, Le surréalisme et la peinture, Nouvelle édition revue et corrigée, 1928-1965, Paris, Gallimard, 1965, rep.p. 91, p. 87-92.
Pour cette œuvre, Duchamp imagine une version personnelle d'une obligation standard, collant une photo de lui par Man Ray, sa tête couronnée de bulles de savon sur une reproduction d'une roue de roulette. En haut il imprime en continu, sur plusieurs lignes, le jeu de mot suivant : moustiques, domestiques, demistock. Au dos sont imprimés des extraits des statuts de la compagnie. L'une des premières descriptions de l'Obligation pour la roulette de Monte Carlo parut dans The little review pendant l'hiver 1924-1925 :
« Marcel Duchamp a créé une société par actions dont il est l'administrateur. Les actions sont vendues 500 francs. L'argent sera utilisé pour mettre au point un système de jeu à Monte Carlo. Les actionnaires recevront 20 % d'intérêts. Quelques-unes des actions sont déjà disponibles dans le pays et leur montage est très amusant. Elles reproduisent une roue de roulette sur laquelle est collée une photo de Duchamp déguisé en diable. Elles sont signées deux fois à la main par Rrose Sélavy (nom sous lequel Marcel est presque aussi connu que sous le vrai), et il y apparaît comme président de la compagnie. Si quelqu'un désire acheter des œuvres d'art inhabituelles pour faire un investissement, il a ici la possibilité d'investir dans un parfait chef-d'œuvre. Rien que la signature de Marcel seule vaut beaucoup plus que les 500 francs demandés pour l'obligation. Marcel a complètement arrêté de peindre et s'est presqu'exclusivement consacré ces dernières années au jeu d'échecs. Il se rendra à Monte Carlo au début janvier pour mettre en place cette nouvelle société. » J(ane) H(eap) « Comment », in The Little review, vol 10, n° 2, automne-hiver 1924-1925, p. 18-19.
Le 16 janvier 1925, avant de partir pour Monte Carlo, Duchamp poste une obligation pour la roulette de Monte Carlo à Jacques Doucet (l'un des rares actionnaires avec Marie Laurencin). Il écrit :
« Je viens de poster l'obligation dont je vous ai parlé hier. Elle parle d'elle-même. J'ai beaucoup étudié le système, me basant sur mes mauvaises expériences de l'année passée. Ne soyez pas sceptique, puisque cette fois je crois avoir éliminé le mot chance. J'aimerai forcer la roulette à devenir un jeu d'échec. Une ambition, et ses conséquences, mais j'aimerais beaucoup payer mes dividendes. »
Duchamp in Sanouillet and Peterson ed., The writings of Marcel Duchamp, pp. 88-89.
Sur une carte postale à Doucet, envoyée peu de temps après être revenu à Paris, Duchamp écrit qu'il est « ravi des résultats (sur papier) ».
Archives, Bibliothèque littéraire Jacques Doucet, Université de Paris.
Enfin, le 2 décembre 1925, il envoie à Doucet 50 francs - le premier dividende de l'obligation de Monte Carlo. En fait, le système ne fonctionna pas. Ce qu'il admet devant James Johnson Sweeney : « Je n'ai jamais rien gagné ». Rapporté par Sweeney in « A conversation with Marcel Duchamp » in Sanouillet and Peterson ed., The writings of Marcel Duchamp, p. 137.
Parier est une activité qui est, comme Freud l'a remarquée, aussi frustrante que l'onanisme :
« la passion pour le jeu est un équivalent de l'ancienne compulsion à la masturbation ».
On reconnaît le penchant de Duchamp pour la préservation de soi dans l'émission de cette obligation, ainsi que sa tentative d'amener le concept d'art à son point de rupture. Écrivant à son ami Francis Picabia, à propos de cette expérience sur Monte Carlo, Duchamp remarqua :
« Vous voyez, j'ai arrêté d'être un peintre, maintenant je fais des essais sur la chance. »
Duchamp in Sanouillet et Peterson ed., The writings of Marcel Duchamp, p. 187.
(Arturo Schwarz, The complete works of Marcel Duchamp, Revised and Expanded Paperback Edition, New York, Delano Greenidge Editions, 2000, n° 406, pages 703-704).
- New York, The Museum of Modern Art, Fantastic Art Dada Surrealism, 1936, n° 225.
- Frankfurt, Schirn Kunsthalle, Die Surrealisten, 1989, reproduction page 158, page 410
- Milano, Palazzo Reale, I surrealisti, 1989, reproduction page 279, page 626
- Rome, Complesso Monumentale del Vittoriano, Dada e surrealismo riscoperti, 2009-2010
- Paris, Galerie Beaux-Arts, Exposition internationale du surréalisme, Dictionnaire abrégé du surréalisme, 1938, rep.p. 36
- André Breton, Le surréalisme et la peinture, Nouvelle édition revue et corrigée, 1928-1965, Paris, Gallimard, 1965, rep.p. 91, p. 87-92.
- Arturo Schwarz, The complete works of Marcel Duchamp, Revised and Expanded Paperback Edition, New York, Delano Greenidge Editions, 2000, rep.p. 703, n° 406, p. 703-704.
- Rome, Complesso Monumentale del Vittoriano, Dada e surrealismo riscoperti, 2009-2010, rep. p. 180
Date de création | 1924 |
Date d'édition | 1924 |
Langues | français |
Notes | 32 x 20 cm (12 5/8 x 7 7/8 in.) - Imitation de ready-made rectifié |
Crédit | © ADAGP, Paris, 2005. |
Référence | 2033000 |
Vente Breton 2003 | Lot 4044 |
Mots-clés | assemblage ou collage, surréalisme |
Catégories | Œuvres graphiques |
Expositions | Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 , 1938, Exposition internationale du surréalisme |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100131600 |
Auteur Alfred H. Barr JrFrontispice de Jean ou Hans ArpIntroduction de Alfred H. Barr JrIllustration de couverture de Man RayTexte de Georges HugnetTraduit par Margaret Scolari
Catalogue de l'exposition organisée par le MOMA en décembre 1936 à New York.
Édition originale incontournable du catalogue Fantastic Art, Dada, Surrealism illustrée de nombreuses reproductions en noir.
Envoi autographe signé d'Alfred Barr à André Breton.
Est joint le catalogue de l'exposition Artists in Exile chez Pierre Matisse à New York 1942. [catalogue de la vente, 2003]
Le catalogue Fantastic Art, Dada, Surrealism a été publié en quatre éditions successives, chacune avec une couverture monochrome de couleur différente. Ce volume constitue la première édition, qui ne contient pas encore le texte de Georges Hugnet, qui n'était pas prêt au moment de l'ouverture de l'exposition. [site André Breton, 2018]
Notes bibliographiques | New York, Museum of Modern Art, 1936. In-4°, couverture toilée de l'édition, jaquette illustrée par Man Ray. |
Date d'édition | 01/12/1936 |
Édition | édition originale |
Langues | anglais |
Dimensions | 26,00 cm |
Nombre de pages | 294 |
Éditeur | Museum of Modern Art, New York |
Référence | 8938000 |
Vente Breton 2003 | Lot 1539 |
Mots-clés | Dada, surréalisme |
Catégories | Catalogues, livres sur l'art, livres d'artistes |
Exposition | Fantastic Art, Dada, Surrealism, 1936-1937 |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100369911 |
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Nicolas Calas, Pierre Matisse, James Thrall Soby
Catalogue d'exposition paru en 1942 chez Pierre Matisse à New York.
Dix images, une notice descriptive, un lien, une œuvre associée.