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Photomaton de Paul Éluard

P. Éluard

Photographie

Auteur

Personne citée Paul Éluard

Descriptif

Portrait photomaton d'Éluard réalisé c. 1929 pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. Est représenté : Paul Éluard. [catalogue de la vente, 2003]

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

Bibliographie

- La Révolution surréaliste, cinquième année, n° 12, 15 décembre 1929.
De gauche à droite et de haut en bas : Alexandre, Aragon, Breton, Buñuel, Caupenne, Dalí, Éluard, Ernst, Fournier, Goemans, Magritte, Nougé, Sadoul, Tanguy, Thirion, Valentin.
- Paris, Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep.p. 193

- Photographie : acquisitions récentes (2003-2007) : Paris (France), centre Pompidou Musée national d'art moderne, 07 novembre 2007-07 janvier 2008
- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 53 // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Élysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

 

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
5,3 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-287(3)

Dimensions5,30 x 3,80 cm
Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référence4232009
Vente Breton 2003Lot 5263
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionLa Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100677950
Lieu d'origine

Notice reliée à :

2 Œuvres
 
False

La femme cachée

-
René Magritte

-

Huile sur toile de 1929 réalisée par Magritte lors de son séjour à Paris.

Une image, une longue notice descriptive, une exposition, une bibliographie.

1938, Exposition internationale du Surréalisme, [Revue] La Révolution surréaliste

False

La Révolution Surréaliste

-

Collection complète de la plus célèbre et importante revue surréaliste, La Révolution Surréaliste. 12 numéros en 11 fascicules du 1er décembre 1924 au 15 décembre 1929.


Vingt-neuf images, une notice, une exposition, une bibliographie

[Revue] La Révolution surréaliste

Descriptif

Photomatons c. 1929 dont certains utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Le tableau est reproduit dans La Révolution surréaliste n° 12 du 15 décembre 1929.
Sont photographiés entre autres : André Breton, Paul Éluard, Suzanne Muzard, Marcel Duhamel. [catalogue de la vente,2003]

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

1. André Breton

2. Jean Caupenne

3. Paul Éluard

4. Simone Prévert, née Dienne, et Suzanne Muzard

5. Maxime Alexandre

6. Marcel Duhamel

7. Jacques-André Boiffard et Pierre Prévert

8. Simone Prévert, née Dienne, et Suzanne Muzard

9. Pierre Unik et Suzanne Muzard

10. Suzanne Muzard

[Anne Egger, 2023, sité André Breton]

 

 

 

Bibliographie

- La Révolution surréaliste, cinquième année, n° 12, 15 décembre 1929, rep.s.p.
- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.pp. 49-57 (photos reproduites en partie)
- Paris, Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep.p. 193 (image 3)

 

Date de créationc. 1929
NotesTirage argentique sur papier
Lieu d'origine
Référence4232011
Vente Breton 2003Lot 5114
Mots-clés, , ,
Catégories[Photos] 1924-1930
Série[Revue] La Révolution surréaliste
ExpositionAlberto Giacometti - André Breton, Amitiés surréalistes
Lien permanenthttps://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100033000
Lieu d'origine

Notice reliée à :

1 Œuvre
 
False

La femme cachée

-
René Magritte

-

Huile sur toile de 1929 réalisée par Magritte lors de son séjour à Paris.

Une image, une longue notice descriptive, une exposition, une bibliographie.

1938, Exposition internationale du Surréalisme, [Revue] La Révolution surréaliste

Descriptif

Photomatons c. 1929 utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Le tableau est reproduit dans La Révolution surréaliste n° 12 du 15 décembre 1929.
10 tirages (certains comportant plusieurs portraits sur une même bande).

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

De gauche à droite, image par image :
image 1 - Paul Éluard,
image 2 - René Magritte,
image 3 - Yves Tanguy,
images 4 et 5 - Luis Buñuel,
image 6 - André Breton,
image 7 - Salvador Dalí,
image 8 - Max Ernst,
images 9 et 10 - Louis Aragon. [catalogue de la vente, 2003]

[Anne Egger, 2023, site André Breton]

 

 

 

Bibliographie

- La Révolution surréaliste, cinquième année, n° 12, 15 décembre 1929, rep.s.p.
- Paris, Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep.p. 193 (photos reproduites en partie)
- Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, La Subversion des images, 2009, rep.pp. 49-57 (photos reproduites en partie)

 

Date de créationc. 1929
NotesTirages argentiques sur papier
Lieu d'origine
Référence4104000
Vente Breton 2003Lot 5113
Mots-clés, , ,
Catégories[Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionsFêtes foraines , La Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100692670
Lieu d'origine
Lieux d'exposition

Notice reliée à :

1 Œuvre
 
False

La femme cachée

-
René Magritte

-

Huile sur toile de 1929 réalisée par Magritte lors de son séjour à Paris.

Une image, une longue notice descriptive, une exposition, une bibliographie.

1938, Exposition internationale du Surréalisme, [Revue] La Révolution surréaliste

Descriptif

10 tirages de photomatons c. 1929, dont certains utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte, Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

10 tirages (certains comportant plusieurs portraits sur une même bande).

Photographies faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte : Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n° 12 du 15 décembre 1929, représentant entre autres : André Breton, Max Ernst, Paul Éluard, Suzanne Muzard.

De gauche à droite et de haut en bas, le montage montrait original les portraits aux yeux fermés de : Alexandre, Aragon, Breton, Buñuel, Caupenne, Dalì, Duhamel, Éluard, Ernst, Fournier, Goemans, Magritte, Nougé, Sadoul, Tanguy, Thirion, Valentin. [catalogue de la vente, 2003, complété par Gérard Roche, merci à lui]

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

1. Marcel Duhamel

2. Yves Tanguy

3. Jacques André Boiffard et Pierre Prévert

4. Jacques-André Boiffard

5. Jacques-André Boiffard

6. André Breton

7. Frédéric Mégret

8. Pierre Unik

9. Suzanne Muzard

10. Simone Prévert

[Anne Egger, 2023, site André Breton]

 

Date de créationcirca 1929
Lieu d'origine
Référence4232001
Vente Breton 2003Lot 5031
Mots-clés, , ,
Catégories[Photos] 1924-1930
Série[Revue] La Révolution surréaliste
ExpositionFêtes foraines
Lien permanenthttps://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100787040
Lieu d'origine
Lieux d'exposition

Notice reliée à :

1 Œuvre
 
False

La femme cachée

-
René Magritte

-

Huile sur toile de 1929 réalisée par Magritte lors de son séjour à Paris.

Une image, une longue notice descriptive, une exposition, une bibliographie.

1938, Exposition internationale du Surréalisme, [Revue] La Révolution surréaliste

1 Commentaire
 

Il faut ajouter Marcel Duhamel pour les quatre premiers photomatons.

Gérard Roche

07/07/2013

Descriptif

10 tirages de photomatons c. 1929 dont certains utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte, Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

10 tirages (certains comportant plusieurs portraits sur une même bande).

Photographies faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte : Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n° 12 du 15 décembre 1929, représentant entre autres : André Breton, Max Ernst, Paul Éluard, Suzanne Muzard.

Sur le montage, de gauche à droite et de haut en bas, le montage montrait les portraits aux yeux fermés de : Alexandre, Aragon, Breton, Buñuel, Caupenne, Dalì, Éluard, Ernst, Fournier, Goemans, Magritte, Nougé, Sadoul, Tanguy, Thirion, Valentin.[catalogue de la vente, 2003]

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

1. Marcel Duhamel

2. Louis Aragon

3. Suzanne Muzard

4. Max Morise

5. Marcel Fourrier

6. Paul Nougé

7. André Breton

8. Marie-Berthe Aurenche

9. Albert Valentin

10. Jacques Prévert

[Anne Egger, 2023, site André Breton]

Date de créationc. 1929
Notes bibliographiquesTirage argentique sur papier.
Lieu d'origine
Référence4232008
Vente Breton 2003Lot 5030
Mots-clés, , ,
Catégories[Photos] 1924-1930
Série[Revue] La Révolution surréaliste
Lien permanenthttps://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100555650
Lieu d'origine

Notice reliée à :

1 Œuvre
 
False

La femme cachée

-
René Magritte

-

Huile sur toile de 1929 réalisée par Magritte lors de son séjour à Paris.

Une image, une longue notice descriptive, une exposition, une bibliographie.

1938, Exposition internationale du Surréalisme, [Revue] La Révolution surréaliste

Descriptif

10 tirages de photomatons c. 1929 dont certains  utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte, Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

10 tirages (certains comportant plusieurs portraits sur une même bande).

Photographies faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte : Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n° 12 du 15 décembre 1929, représentant entre autres : André Breton, Max Ernst, Paul Éluard, Suzanne Muzard.

Sur le montage original, de gauche à droite et de haut en bas, le montage montrait les portraits aux yeux fermés de : Alexandre, Aragon, Breton, Buñuel, Caupenne, Dalì, Éluard, Ernst, Fournier, Goemans, Magritte, Nougé, Sadoul, Tanguy, Thirion, Valentin.[catalogue de la vente, 2003]

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

1. Luis Bunuel

2. Louis Aragon (on aperçoit Suzanne Muzard derrière)

3. Yves Tanguy

4. André Breton

5. René Magritte

6. Camille Goemans

7. Yves Tanguy et Jacques Prévert

8. Marcel Duhamel

9. Suzanne Muzard avec Melmoth

10. Pierre Unik et Suzanne Muzard

[Anne Egger, 2023, site André Breton]

Date de créationc. 1929
Lieu d'origine
Référence4232002
Vente Breton 2003Lot 5029
Mots-clés, ,
Catégories[Photos] 1924-1930
Série[Revue] La Révolution surréaliste
Lien permanenthttps://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100505500
Lieu d'origine

Notice reliée à :

1 Œuvre
 
False

La femme cachée

-
René Magritte

-

Huile sur toile de 1929 réalisée par Magritte lors de son séjour à Paris.

Une image, une longue notice descriptive, une exposition, une bibliographie.

1938, Exposition internationale du Surréalisme, [Revue] La Révolution surréaliste

Descriptif

10 tirages de photomatons c. 1929 dont certains utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte, Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

10 tirages (certains comportant plusieurs portraits sur une même bande).

Photographies dont la plupart faisait partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte : Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n° 12 du 15 décembre 1929, représentant entre autres : André Breton, Max Ernst, Paul Éluard, Suzanne Muzard.

Sur le montage original, de gauche à droite et de haut en bas, le montage montrait les portraits aux yeux fermés de : Alexandre, Aragon, Breton, Buñuel, Caupenne, Dalì, Éluard, Ernst, Fournier, Goemans, Magritte, Nougé, Sadoul, Tanguy, Thirion, Valentin.[catalogue de la vente, 2003]

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

1. Max Ernst

2. Pierre Unik

3. Gazelle Duhamel, née Grazelia Dabija et Marcel Duhamel

4. Camille Goemans

5. E.L.T. Mesens

6. André Breton

7. Louis Aragon

8. Marcel Fourrier

9. Jean Caupenne

10. Suzanne Muzard

[Anne Egger, 2023, site André Breton]

 

 

 

Bibliographie

- Paris, Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep.p. 193 [image 7]

 

Date de créationc. 1929
Lieu d'origine
Référence4232000
Vente Breton 2003Lot 5028
Mots-clés, , ,
Catégories[Photos] 1924-1930
Série1991, La Beauté convulsive, centre Pompidou
ExpositionAndré Breton, La Beauté convulsive
Lien permanenthttps://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100642640
Lieu d'origine

Notice reliée à :

2 Œuvres
 
False

La femme cachée

-
René Magritte

-

Huile sur toile de 1929 réalisée par Magritte lors de son séjour à Paris.

Une image, une longue notice descriptive, une exposition, une bibliographie.

1938, Exposition internationale du Surréalisme, [Revue] La Révolution surréaliste

False

La Révolution Surréaliste

-

Collection complète de la plus célèbre et importante revue surréaliste, La Révolution Surréaliste. 12 numéros en 11 fascicules du 1er décembre 1924 au 15 décembre 1929.


Vingt-neuf images, une notice, une exposition, une bibliographie

[Revue] La Révolution surréaliste