André Breton dans son atelier, rue Fontaine
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Portrait photographique d'André Breton dans son atelier en 1961.
Deux images, une notice descriptive, une exposition, une bibliographie.
Personne citée André BretonPhotographe Henri Cartier-Bresson
Tirage tardif d'un portrait d'André Breton en 1961 dédicacé à Elisa par le photographe.
Dédicacé au dos : « À Elisa Breton avec mon meilleur souvenir. Henri Cartier-Bresson. » [catalogue de la vente, 2003 ; Merci à la fondation Henri Cartier-Bresson pour la correction de date, site André Breton 2021]
Date de création | 1961 |
Langues | français |
Notes | 23,9 x 15,9 cm (9 1/2 x 6 1/4 in.) |
Crédit | © fondation Henri Cartier-Bresson, 2021 |
Vente Breton 2003 | Lot 5201 |
Mots-clés | photographie, portrait |
Catégories | [Photos] 1958-1966 |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100059100 |
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Portrait photographique d'André Breton dans son atelier en 1961.
Deux images, une notice descriptive, une exposition, une bibliographie.
Bâton sculpté de deux visages humains se partageant une même coiffe peignée en dôme.
Une image, une notice descriptive, une bibliographie, une exposition.
Ce masque au visage distordu, propriété d'un shaman, était utilisé lors de cérémonies d'évocation et de représentation des esprits que ceux-ci pouvaient inspirer au shaman lors de ses transes et de ses visions.
Une image, une notice descriptive.
Longue planche Gope, palette de bois ornée en champlevé d'une représentation humaine étirée.
Une image, une notice descriptive.
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Cinq photographies d'André Breton dans son appartement à New-York en 1945, dont une avec Elisa.
Cinq images, une notice descriptive à compléter, une exposition, une bibliographie.
1991, La Beauté convulsive, centre Pompidou, [Photos d'objets] photos d'objets dans l'atelier
Masque yup'ik datant du début du 20e siècle, en bois polychrome et en plumes, actuellement conservé au musée du Quai-Branly.
Date de création | circa 1900 |
Langues | français |
Notes | Bois polychrome, plumes |
Provenance | Heye Foundation |
Musée | |
Modalité d'entrée dans les collections publiques | Musée du Quai Branly, don Aube et Oona Elléouët, 2003 |
Dimensions | 84,00 x 60,00 x 57,00 cm |
Mots-clés | masque, matériaux organiques, objet cérémoniel, peuples d'Arctique, sculpture |
Catégories | Amérique, Arts primitifs, Inuit et Yup'ik |
Série | [Photos d'objets] photos d'objets dans l'atelier |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100424230 |
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Deux albums de photographies d'objets d'Amérique du Nord et d'Océanie, annotées par André Breton.
121 images, une courte notice descriptive, des liens.
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Cinq photographies d'André Breton dans son appartement à New-York en 1945, dont une avec Elisa.
Cinq images, une notice descriptive à compléter, une exposition, une bibliographie.
1991, La Beauté convulsive, centre Pompidou, [Photos d'objets] photos d'objets dans l'atelier
Masque cérémoniel des Yup'ik d'Alaska, datant du début du 20e siècle.
« Les Yupi'k de la région Yukon-Kuskokwim vivaient principalement de la pêche et de la chasse aux mammifères marins.
» Les grands villages comportaient une ou plusieurs maisons communautaires dans lesquelles les hommes habitaient et travaillaient. C'est là qu'étaient sculptés les masques, souvent sous la directive d'un chaman, et que se déroulaient les fêtes et cérémonies propitiatoires auxquelles participait toute la communauté. Durant les festivités, des danseurs masqués répétaient des événements de la mythologie, jouaient des fables moralisatrices ou mimaient des événements cocasses.
» Le masque du poisson appartient également au domaine du rituel. Ce masque possède un pendant au Museum of the American Indian avec lequel il forme une paire presque symétrique. Le visage humain n'est pas la représentation principale du masque : ce qui compte d'abord c'est le poisson donnant son nom au masque. Ce poisson, la tête en bas, laisse le demi-visage apparaître, probablement sa yua (âme).
» L'âme des animaux a toujours, chez les Yup'ik, une physionomie humaine. C'était l'âme du poisson qui décidait de mettre ou non son corps à la disposition des hommes. Et son exemple serait suivi par nombre de poissons : la yua déterminait ainsi une période d'abondance ou provoquait une famine. La bouche grimaçante reflète l'ambivalence de la situation : l'animal se donne, mais il est en même temps anéanti par l'homme qui le mange. Cette bouche menaçante dénote la vigilance du poisson ; elle prévient l'homme que l'observance des tabous et des règles concernant la pêche doit être respectée, si tel n'était pas le cas, le monde animal ne lui pardonnerait pas. Cette sculpture forte, avec sa personnalité mi-animale, mi-humaine, rend compte de la dualité, au coeur des croyances yupi'k. »
(notice du musée du Quai Branly, pavillon des sessions, musée du Louvre)
- Germain Viatte, Tu fais peur tu émerveilles, Musée du Quai-Branly, acquisitions 1998/2005, Musée du Quai-Branly/Réunion des Musées nationaux, Paris, 2006, rep. p.45, fig. 15.
Date de création | Début 20e siècle |
Langues | français |
Notes | Bois polychrome, plumes H. 48 cm |
Musée | |
Dimensions | 48,00 cm |
Mots-clés | masque, matériaux organiques, objet cérémoniel, peuples d'Arctique |
Catégories | Amérique, Arts primitifs, Inuit et Yup'ik |
Série | [Photos d'objets] photos d'objets dans l'atelier |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100659620 |
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Deux albums de photographies d'objets d'Amérique du Nord et d'Océanie, annotées par André Breton.
121 images, une courte notice descriptive, des liens.
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Cinq photographies d'André Breton dans son appartement à New-York en 1945, dont une avec Elisa.
Cinq images, une notice descriptive à compléter, une exposition, une bibliographie.
1991, La Beauté convulsive, centre Pompidou, [Photos d'objets] photos d'objets dans l'atelier
Masque constitué d'un demi-cylindre de cuir vert, orné au sommet et à la base d'une frange et d'une barbe de crins bruns, qu'un mince regard vertical anime. La « tableta » sur laquelle repose ce cylindre est peint des deux côtés d'un riche décor, les fleurs annonçant d'abondantes récoltes, les motifs architecturaux la pluie indispensable aux cultures.
Ce masque correspond au type Anya Kachina Mana ou Hokyana, divinité à la longue chevelure. Originaire de Zuni, où il est appelé Kokoshi, il revêt une grande importance chez les Hopi.
Accroché à une lanière de cuir, une inscription d'André Breton « Kachina Mana. Hopi », et deux petites étiquettes rondes : « Wolz coll. 8413 HX5S » et « Wolz coll. Hopi 892 LAS »
- Paris, Annexe du Musée Guimet, Le Masque, 1959-1960, n° 54 (avec dimensions différentes.
- Paris, Pavillon des Arts, La danse des Kachina - Poupées Hopi et Zuni dans les collections surréalistes et alentour, 1998, n° 4, reproduction page 50.
- Alain Jouffroy, « La collection André Breton », L'Œil, n° 10, octobre 1955, reproduction page 36.
- Roger Caillois, Masques, Éditions Olivier Perrin, Paris, 1965, reproduction page 32.
- Paris, Musée National d'Art Moderne/Centre Georges Pompidou, André Breton, La beauté convulsive, 1991, reproduction page 77 (photo Sabine Weiss, 1960, dans l'atelier); reproduction page 364 (dans le studio new-yorkais en 1945).
Langues | français |
Notes | Hauteur planche : 43 cm (28 3/4 in.) Hauteur avec barbe : 67 cm (28 3/4 in.) - Bois, polychromie rouge, noire, brune, cuir, crins. |
Provenance | Ancienne collection Volz (l'une des toutes premières collections américaines de Kachina, avec la collection Keam). |
Lieu d'origine | |
Dimensions | 67,00 cm |
Vente Breton 2003 | Lot 6189 |
Mots-clés | amérindien, Arizona, masque, matériaux organiques, objet cérémoniel |
Catégories | Amérique, Arts primitifs, Sud-Ouest (Hopi et Zuni) |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100049190 |
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Douze photographies d'objets d'art précolombien et d'Amérique du Nord.
14 images, une notice descriptive.
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Cinq photographies d'André Breton dans son appartement à New-York en 1945, dont une avec Elisa.
Cinq images, une notice descriptive à compléter, une exposition, une bibliographie.
1991, La Beauté convulsive, centre Pompidou, [Photos d'objets] photos d'objets dans l'atelier
Ce masque au visage distordu, propriété d'un shaman, était utilisé lors de cérémonies d'évocation et de représentation des esprits que ceux-ci pouvaient inspirer au shaman lors de ses transes et de ses visions.
La forme du visage ovale est concave-convexe. Les yeux sont asymétriques, l'un rond, l'autre fendu. À l'une des commissures des lèvres est sculptée une petite tête de loutre, de l'autre côté, une baleine ; le milieu de la bouche est traversé par un saumon. La décoration périphérique est constituée de quatre plumets. Sur le front sont plantées trois petites pointes de lances en bois. Les oreilles sont remplacées par des mains rapportées, dont les doigts sont peints en rouge. La ligne noire peinte sur le dos de la main était là pour chasser les esprits maléfiques. À mi-joue, sont fixés deux petits bras. Le menton est orné de deux hameçons en bois et d'un petit phoque planté sur une pique. À l'intérieur du masque, un mors permettait au danseur de tenir le masque entre les dents.
Un masque similaire figure dans les collections du Glenbow Museum, Canada. [catalogue de la vente, 2003]
- Paris, Musée National d'Art Moderne/Centre Georges Pompidou, La Révolution surréaliste, 2002
- Düsseldorf, K20 Kunstsammlung Nordrhein - Westfalen, Surrealismus, 1914 - 1944, 2002
[Merci à la galerie Di Donna, site André Breton 2019]
- Un masque très similaire figure dans les collections du Glenbow Museum, Canada. Cf. Lynn Ager Wallen, The Face of Dance - Yup'ik Eskimo mask from Alaska, Glenbow Alberta Institute, 1990, plate 1, p. 21
- Alain Jouffroy, « La collection André Breton », L'œil, n° 10, octobre 1955, p. 34 et 37
- William Rubin, Primitivism in XXth century art - Affinity of the Tribal and the Modern, New York, The Museum of Modern Art, 1984, rep. p. 578
- Paris, Musée National d'Art Moderne/Centre Georges Pompidou, André Breton, La beauté convulsive, 1991, rep.p. 74 (photo dans le studio new-yorkais, 1945) ; rep. p. 76 (photo Sabine Weiss, 1960, dans l'atelier) ; rep. p. 375 (photo Sabine Weiss, 1955, dans l'atelier, L'œil n° 10, 1955).
- D. Ellis, Art of the Arctic : Reflections of the Unseen, London, 2015 (photographies pp. 7 and 29)
Notes bibliographiques | Bois, peinture, plumes. 39.4 x 43.2 x 15.2 cm (15½ by 17 by 6 in.). |
Langues | français |
Notes | Bois, polychromie rouge, verte et blanche, plumes. |
Provenance | Heye Foundation n° d'inventaire 12/0921, achat du Musée, échangé avec Julius Carlebach en juillet 1944. |
Lieu d'origine | |
Dimensions | 39,40 x 43,20 x 15,20 cm |
Vente Breton 2003 | Lot 6161 |
Mots-clés | masque, matériaux organiques, objet cérémoniel, peuples d'Arctique |
Catégories | Inuit et Yup'ik |
Expositions | La Révolution surréaliste, 2002 , Moon Dancers : Yup'ik Masks and the Surrealists , Surrealismus 1914-1944 |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100862850 |
Tirage tardif d'un portrait d'André Breton en 1961 dédicacé à Elisa par le photographe.
Deux images, une notice descriptive à compléter.
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Cinq photographies d'André Breton dans son appartement à New-York en 1945, dont une avec Elisa.
Cinq images, une notice descriptive à compléter, une exposition, une bibliographie.
1991, La Beauté convulsive, centre Pompidou, [Photos d'objets] photos d'objets dans l'atelier
Dessin à l'encre et à l'aquarelle de Kay Sage représentant un masque et daté de 1941.
Une image, une notice descriptive à compléter.
Totem sculpté de cinq représentations, dont un ours à la base et un épaulard au sommet.
L'ouverture ménagée entre les pattes de l'ours représente l'entrée de la maison traditionnelle dont ce totem est une réduction.
On remarque des traces de polychromie rouge, noire et verte d'oxyde de cuivre sur les yeux, les membres supérieurs et inférieurs des animaux figurés.
Chez les Haida, les mâts totémiques prennent les formes et aspects les plus remarquables. Il existe quatre sortes de mâts totémiques, qui remplissent des fonctions précises :
- poteaux des maisons pour soutenir les charpentes
- mâts frontaux placés sur l'axe central de la façade des maisons, souvent percés d'une ouverture utilisée lors de cérémonies
- mâts comémoratifs, en général érigés par celui qui vient d'hériter d'un titre, en hommage à son prédécesseur
- mâts mortuaires, destinés à soutenir les coffres funéraires placés devant la maison.
Sur le mât lui-même, on trouve des blasons. Les blasons font partie du patrimoine immatériel des familles et des clans. Ils representent des animaux qui ont joué un rôle important dans la vie de l'ancêtre d'un groupe.
Si les Haida disposent de près de soixante-dix blasons, moins d'une vingtaine sont employées : corbeau, aigle, épaulard, etc.
La production de ce type de mât miniature scuplté en bois ou en argilite était destinée à un usage commercial, prisé par les traiteurs puis les touristes. [site André Breton, Marie Mauzé, 2014]
- Paris, Galerie Jacques Kerchache, Art primitif Amérique du Nord, 1965.
- Paris, Musée National d'Art Moderne/Centre Georges Pompidou, André Breton, La beauté convulsive, 1991.
- Paris, Galerie Jacques Kerchache, Art primitif Amérique du Nord, 1965, rep. p. 24.
- Paris, Musée National d'Art Moderne/Centre Georges Pompidou, André Breton, La beauté convulsive, 1991, cité p. 492.
- Sisvan William Aram Gunn, Haida Totems in Wood and Argillite, Vancouver, 1967.
- Wolfgang Haberland, Amérique du Nord : Indiens, Esquimaux, les Indes occidentales, Paris, 1972.
Date de création | Fin XIXe siècle |
Langues | français |
Notes | Haut : 132 cm (52 in.) |
Lieu d'origine | |
Dimensions | 132,00 cm |
Référence | 4624000 |
Vente Breton 2003 | Lot 6167 |
Mots-clés | amérindien, mur, sculpture |
Catégories | Amérique, Côte Nord-Ouest |
Lien permanent | https://www.andrebreton.fr/fr/work/56600100655710 |
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Cinq photographies d'André Breton dans son appartement à New-York en 1945, dont une avec Elisa.
Cinq images, une notice descriptive à compléter, une exposition, une bibliographie.
1991, La Beauté convulsive, centre Pompidou, [Photos d'objets] photos d'objets dans l'atelier